Avant que les tapis berbères ne deviennent une passion

Très tôt dans sa vie, Galvinsky a décidé qu'il voulait voir le monde. Quand un garçon de huit ans le dit, c'est adorable et c'est un souhait légitime. Mais, quand on est un jeune diplômé de 18 ans, il faut s'appliquer.

Très vite, Galvinsky a atteint un âge requis. Et il en a profité pour rayer deux choses de sa liste : visiter un pays étranger et étudier dans une ville historiquement artistique - Barcelone.

Ces deux étapes lui serviront plus tard d'aventures de passage, ce qui rendra justice à son rêve d'enfant.

Tapis marocains - En dehors du Maroc ?

Ses voyages à travers le monde, pour des raisons tant académiques que personnelles, lui ont donné envie d'en découvrir davantage. Et c'est ce qu'il a fait.

Plus tard, il a décidé de créer sa propre entreprise de tourisme et de voyager pour le travail. Il s'en est alors trouvé épanoui sur le plan émotionnel. Le fait de pouvoir parcourir le monde et de pouvoir raconter de nombreuses histoires a certainement contribué au parcours artistique de Galvinsky. S'il avait choisi une autre discipline, le monde et son flux incessant de scènes d'influence seraient restés un mystère pour lui.

Jusqu'à présent, nous avons couvert la partie "Nomad" de Nomad33. Fidèle à ses racines, Galvinsky a fait le tour du monde et a mérité son titre. Et en raison de son importance pour lui, il a décidé de l'utiliser comme surnom pour son prochain projet.

Le "33" doit sûrement signifier quelque chose - et c'est le cas !

Nomad33 n'a vu le jour qu'après de nombreuses situations éprouvantes, accablantes et parfois insupportables - qu'elles soient professionnelles pour Galvinsky, personnelles ou universitaires. Il a fallu du temps pour surmonter son rite de passage : surmonter de nombreux obstacles dans différents domaines, a pris du temps - depuis 2003. Après quinze ans de lutte constante contre les exigences incessantes de la vie, Nomad33 est né. Galvinsky, à l'époque, avait trente-trois ans. D'où le nom de Nomad33.

"J'aurais pu colorier le nom autant que mes tapis, mais j'ai préféré le garder simple, personnel et facile à retenir !”